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mardi 29 septembre 2015

à lire sur Le Monde.fr , mardi 29 septembre 2015

                                


 MARDI 29 SEPTEMBRE 2015 
 
 Les deux présidents ont posé pour la presse avant leur première rencontre bilatérale depuis plus de deux ans, se donnant une poignée de main glaciale. 
A l’ONU, Obama et Poutine s’accusent d’alimenter le chaos syrien
 
Les deux dirigeants se sont parlé en tête à tête pour la première fois depuis deux ans, après une poignée de main glaciale, en marge de la 70e assemblée générale de l’ONU.
 
 
 
 Bernard Tapie en juin 2013. 
Une plaidoirie à un milliard d’euros pour Bernard Tapie
 
Après l’annulation de l’arbitrage en sa faveur, la cour d’appel doit déterminer s’il a été lésé par le Crédit lyonnais lors de la vente d’Adidas en 1993.
 
 

 
 Ecole primaire à Marseille en septembre 2014. 
Réforme de l’évaluation : ce que prépare Najat Vallaud-Belkacem
 
« Le Monde » a pu consulter les premiers projets d’arrêtés qui prévoient un système d’évaluation faisant cohabiter des « échelles de progrès » et des notes sur 20.
 
 
 
 Les forces de sécurité afghanes se déplacent à Kunduz, le 28 septembre. 
Les talibans s’emparent de Kunduz, ville majeure d’Afghanistan
 
La chute d’une grande partie de cette ville du nord est une première depuis la chute du régime taliban en 2001.
 
 
 
 Les traînées sombres sur les pentes du cratère martien Garni, longues de quelques centaines de mètres, seraient des coulées de saumure. 
De l’eau salée s’écoulerait sur la planète Mars
 
Les coulées intermittentes observées sur des pentes martiennes pourraient être constituées d’une saumure très salée, peu propice à l’apparition de la vie.
 
 
 
 François Hollande attend avant de prononcer un discours à l'assemblée générale de l'ONU à New York le 28 septembre 2015. 
Devant l’ONU, la France promet d’augmenter ses financements climat
 
Le chef de l’Etat a apporté des précisions sur la nature du texte qui pourrait être signé en décembre à Paris.
 
 
 
 
En images
Les microtubules, en vert, permettent la division cellulaire.
 
Médaille d’or du CNRS, Eric Karsenti explique comment les microtubules façonnent la vie
Le biologiste cellulaire explique ses travaux sur le plancton et sur les microtubules, des filaments microscopiques qui façonnent la vie.
 
La NASA annonce que de l’eau coule sur Mars
 
Des manifestants jettent des pétards sur un bus de migrants en Finlande
 
Youssoupha : « Les rappeurs sont des amoureux de la langue »
 
Refus de célébrer les mariages gay, la réponse du pape François
 
 
 
 
 
 Et aussi 
 
 Le corps d'un jeune chauffeur de moto-taxi musulman à la mosquée Ali Babolo, dans le quartier PK5 de Bangui en Centrafrique le 26 septembre 2015. 
La Centrafrique au bord du gouffre
 
Lundi 28 septembre, la capitale Bangui venait de vivre ses journées les plus sanglantes depuis plus d’un an. Le bilan des émeutes s’élèverait à une cinquantaine de morts.
 
 
 
 Michel Platini, le 28 août à Monaco. 
FIFA : ce que l’on reproche à Platini et ce qu’il risque
 
Impliqué dans la procédure pénale ouverte contre Blatter, le président de l’UEFA est aussi visé par une enquête du comité d’éthique de la FIFA.
 
 
 
 La plate-forme de Shell, “Polar Pioneer”, à Seattle, en juin, avant son départ pour l'Alaska. 
Les pétroliers qui ont reculé face à l’Arctique
 
Shell n’est pas la première à abandonner les forages dans cette région souvent présentée comme une terre promise pour les compagnies pétrolières, mais qui s’avère des plus hostiles.
 
 
  
 | LE JOURNAL DATÉ DU 29 SEPTEMBRE
 
 
La femme du prisonnier
 
Depuis un an, Lilia tient soigneusement la chronique de la détention d’Alexeï, capturé par les rebelles du Donbass dans la région de Donetsk. Elle tente de comprendre pourquoi son compagnon n’est toujours pas là au moment où la libération des détenus sera de nouveau à l’ordre du jour de la réunion des chefs d’Etat et de gouvernement allemand, français, russe et ukrainien, vendredi 2 octobre, à Paris
 Lire le journal
 
  
Matières premières : Glencore s’effondre à la Bourse de Londres
 
A 68,62 pence, l’action du groupe de matières premières est tombé à son plus bas niveau historique à la suite d’une note alarmiste sur son endettement.
 
 
 
 Un drone militaire américain, sur la base californienne de Point Mugu 
L’appli qui recensait les frappes meurtrières des drones américains retirée de l’App Store
 
Metadata+ avait connu un succès fulgurant lors de son lancement sur l'App Store en février 2014 en recensant les frappes de drones américains.
 
 
 
 Les putschistes ont rendu le pouvoir au président de transition le 23 septembre, mais la situtation reste  complexe à la tête de l'Etat. 
Au Burkina Faso, les tensions demeurent autour du désarmement des putschistes
 
Selon l’Etat major des armées, le désarmement des rebelles prévu par un accord entre loyalistes et putschistes est « dans une impasse ».
 
 
 



   
Syrie : divergences sur le rôle de Bachar Al-Assad
Barack Obama et Vladimir Poutine se sont opposés lundi à l'ONU sur la crise syrienne, affichant leur désaccord sur la place à réserver au président syrien dans la lutte contre les djihadistes de l'Etat islamique (EI). Pour le président américain, Assad est un "tyran" qui massacre des enfants innocents. Pour son homologue russe, il représente un gouvernement légitime avec lequel refuser de coopérer serait une "énorme erreur". Face aux djihadistes, M. Poutine a appelé à la tribune à une "large coalition antiterroriste", semblable à "celle contre Hitler" au cours de la seconde guerre mondiale. Moscou a proposé lundi au Conseil de sécurité de l'ONU une résolution soutenant une coalition politique et militaire internationale de lutte contre l'EI. Celle-ci devrait inclure également l'Iran et le régime syrien, a précisé l'ambassadeur aux Nations unies russe, Vitali Tchourkine. Quelques minutes avant M. Poutine, à la même tribune, M. Obama avait ouvertement évoqué la possibilité de travailler avec la Russie et l'Iran. Mais, dans un discours centré sur la force de la diplomatie – exemples de l'Iran et de Cuba à l'appui –, M. Obama avait aussi fixé des limites : "Après tant de sang versé et un tel carnage, il ne peut y avoir un retour au statu quo d'avant la guerre." François Hollande a, lui aussi, réaffirmé lundi que la transition en Syrie passait par le départ du président syrien."Assad est à l'origine du problème et il ne peut pas faire partie de la solution." De son côté, le président syrien, qui a prononcé un discours à l'ONU, avait jugé dimanche que le régime damascène devait rester en place : "Si on retire le gouvernement syrien de l'équation, les terroristes entreront dans Damas", a-t-il préditLa question Assad s'avère donc des plus complexes...  








Afghanistan : l'Etat islamique imprime sa marque
Impavides, les spadassins de l'Etat islamique (EI) tissent leur toile. Non seulement au sein de leur "califat" syro-irakien, mais aussi au-delà. Dans un récent rapport, des experts de l'ONU ont ainsi constaté une "expansion virale de la marque Etat islamique" en Afghanistan. D'après eux, des groupes "se réclamant de l'EI ou soutenant l'organisation" auraient été signalés dans 25 des 34 provinces de ce pays troublé, brisé par plusieurs décennies de guerre. Désormais, les hommes liges d'Abou Bakr Al-Baghdadi chassent ouvertement sur les terres des talibans – même si 10 % d'entre eux se disent sympathisants de l'EI, note le Daily Express. Le noyau dur du mouvement djihadiste serait composé d'environ soixante-dix hommes, rapporte l'agence de presse afghane Khaama Press. Preuve de son pouvoir de nuisance croissant, l'EI a lancé dimanche des attaques coordonnées visant plusieurs barrages de police dans la province orientale de Nangarhar, une première. Au début de septembre, le gouverneur du district d'Achin avait confié àVoice of America que le groupe terroriste contrôlait plusieurs prisons. VICE News, de son côté, expliquait qu'il avait fait fermer près d'une soixantaine d'écoles de la province, privant 30 000 enfants d'enseignement. Sans parler de cette exécution barbare d'un soldat afghan qui avait défrayé la chronique (TheBlaze). Face à cette"nouvelle menace émergente" qu'elles disent "prendre très au sérieux", les autorités américaines nourrissent de vives préoccupations. Au point, semble-t-il,
de s'interroger sur la pertinence du calendrier de retrait de leurs dernières troupes (9 800 soldats), observent le Wall Street Journal et Foreign Policy. La principale crainte de Washington ? Voir se reproduire le fiasco irakien de 2011, avec toutes les conséquences néfastes qu'un tel scénario induirait. 

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