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lundi 31 août 2015

Trois femmes qui veulent changer l'école


Le Huffington Post

RENTRÉE LIBRE 
Trois femmes qui veulent changer l'école

                                
               De gauche à droite: Chloé Coffy, Céline Alvarez et Marie-Sandrine Lamoureux


EDUCATION - Ce mardi, les enfants retrouvent le chemin des classes. Ce lundi, c'était les enseignants qui faisaient leur pré-rentrée. A cette occasion, nous dressons le portrait de trois femmes qui veulent changer l'école. Chloé Coffy, Céline Alvarez et Marie-Sandrine ont en commun de vouloir apporter du renouveau et de la fraîcheur dans l'Éducation nationale.
Pour y parvenir, elles n'ont pas choisi la même voie. Leur portrait est à lire sur Le HuffPost C'est la vie.
Redonner envie
La première, Chloé Coffy, a démissionné de l'Éducation nationale pour créer sa propre école primaire. Ses élèves sont précoces, hyperactifs ou encore dyslexiques et ont connu des débuts difficiles à l'école. Son but, leur redonner l'envie d'apprendre grâce à un savant mélange de pédagogies alternatives.
S'ouvrir aux ambitions
Pour nombre d'enseignants du primaire, Céline Alvarez est une rock star. Cette jeune femme qui refuse l'étiquette de prof a mené une expérience passionnante dans une école de Gennevilliers jusqu'en septembre 2014. Elle a appliqué certains principes de la pédagogie Montessori et des sciences cognitives pour savoir si l'on pouvait inverser la règle selon laquelle 40% des enfants sortent du primaire en France avec des lacunes qu'ils traîneront sur toute leur scolarité.
Faire la paix
Marie-Sandrine Lamoureux pour sa part enseigne le français depuis plus de vingt dans des collèges et lycées de banlieues. Après le choc des attentats de janvier, elle a décidé de prendre la plume pour donner sa vision de l'école, de ses élèves réputés difficiles et de son rôle de passeur de savoirs.
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