Translate

mardi 28 août 2012

Merci à JC Tardieu animateur du site :<< la voix de l'opposition de gauche>> ,de donner toutes ces informations que je relaye dans ce blog. Article de presse. Un article de lexpress.fr du 25 août 2012 Tunisie: le patron de la chaîne des Guignols locaux va en prison. (26.08) L'émission satirique de Guignols tunisiens diffusée sur Ettounissiya TV a été arrêtée brusquement la semaine dernière. "Je vais en prison dignement", a déclaré Sami Fehri. Le patron de la chaîne qui diffusait l'émission satirique de Guignols tunisiens, Ettounissiya TV a indiqué samedi être sur le point d'être placé en détention, accusant le pouvoir de chercher à faire taire une chaîne critique du pouvoir. L'émission avait été arrêtée brusquement la semaine dernière. "Je vais en prison dignement", a déclaré Sami Fehri à l'antenne de la radio Express FM, au lendemain de la décision d'un tribunal de Tunis ordonnant son placement en détention. "Tout cela m'arrive à cause de quatre Guignols", a-t-il ajouté en référence à l'émission de marionnettes satiriques. Pression des autorités Selon l'agence de presse officielle TAP, il est accusé de "d'usage illicite des ressources de l'Etablissement de la télévision tunisienne" à l'époque du régime du président déchu Zine el-Abidine Ben Ali. Dans la semaine, Sami Fehri avait déclaré avoir décidé d'arrêter la diffusion des Guignols à la suite de pressions des autorités. Il n'avait alors pas souhaité être cité afin de protéger sa chaîne, mais le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) avait relayé l'information. Samedi, Sami Fehri a précisé à Express FM avoir subi les pressions de Lotfi Zitoune, un influent conseiller du chef du gouvernement, Hamadi Jebali, issu du parti islamiste au pouvoir, Ennahda. "Lotfi Zitoune m'a contacté et m'a dit qu'il y avait un grand mécontentement et que ce que la chaîne diffusait était inacceptable", a-t-il déclaré. Emission satirique L'émission de marionnettes, lancée en mars dans une version hebdomadaire avant de devenir quotidienne il y a moins d'un mois, a été brusquement arrêtée la semaine dernière, alors qu'elle traitait de manière satirique la vie politique, raillant particulièrement les dirigeants du pays et d'Ennahda. Sami Fehri a fondé Ettounissiya TV en mars 2011, quelques mois après la révolution tunisienne. Il était auparavant associé au sein d'une société de production, Cactus, à la famille de l'épouse du chef de l'Etat déchu, les Trabelsi. Cette affaire intervient alors que le climat entre les médias et le gouvernement est délétère. De nombreux organes de presse et des représentants de la société civile accusent les islamistes de chercher à contrôler les médias jugés trop critiques à l'égard de la politique du gouvernement. Vendredi, le Syndicat national des journalistes tunisiens a annoncé une grève générale du secteur en signe de protestation, dont la date doit être fixée dans deux semaines. Article de presse. Un article du Monde du 27août 2012 Il faut renforcer la mobilité des travailleurs européens. (28.08) Par László Andor, commissaire européen chargé de l'emploi, des affaires sociales et de l'inclusion. Il est facile d'oublier combien une liberté est importante une fois qu'on s'y est habitué. Cependant, la liberté de circulation des travailleurs est un principe fondamental de l'intégration européenne. La décision du gouvernement français de faciliter l'accès des travailleurs bulgares et roumains à certaines professions constitue un pas dans la bonne direction. La décision prise récemment par l'Irlande d'ouvrir son marché du travail était déjà une réponse positive à l'appel lancé par la Commission européenne à lever ces restrictions, et j'espère que d'autres Etats membres feront de même. La liberté de circulation des travailleurs est l'un des fondements de l'Union européenne. Faire en sorte qu'il soit facile pour les citoyens de l'UE de changer de pays pour raison professionnelle renforce le potentiel économique des pays membres. Les études sur la mobilité au sein de l'UE consécutive à l'élargissement indiquent avec constance que les travailleurs d'autres pays de l'UE ont eu un impact positif. Ils ont contribué à donner un coup de fouet aux économies des pays d'accueil ainsi qu'à la diversification des compétences, et ils ont travaillé dans des secteurs et métiers où des postes vacants demandaient à être occupés. En outre, leur mobilité est bénéfique pour leurs pays d'origine en contribuant à leur croissance grâce aux émoluments ou aux compétences acquis à l'étranger. A l'heure actuelle, la France accueille environ 87 000 citoyens bulgares et roumains, dont plus des trois quarts sont en âge de travailler. L'ouverture totale du marché du travail serait très utile pour les secteurs qui connaissent une pénurie de compétences, tels que le bâtiment, le transport, le tourisme, l'agriculture, l'hôtellerie et la restauration. Si nous avons l'intention de nous diriger vers un véritable marché du travail européen, nous devons lever les obstacles à la mobilité professionnelle. Les énormes fossés qui séparent pays et régions en termes de taux de chômage, d'un côté, et de taux de postes vacants, de l'autre, indiquent que nous n'exploitons pas suffisamment le potentiel que représente la mobilité. Au vu de la crise de l'emploi, caractérisée par une combinaison de niveaux de chômage qui demeurent élevés dans beaucoup de domaines, et d'offres d'emploi non pourvues dans des régions ou secteurs en forte croissance, sans parler des défis démographiques auxquels l'UE va être confrontée, nous ne pouvons pas nous permettre de restreindre la libre circulation. Par conséquent, nous devons continuer à démanteler tout obstacle légal et pratique qui subsiste. J'ai présenté des mesures dans ce sens dans le cadre du "paquet emploi", en avril. Garantir la portabilité des retraites en fait partie, tout comme les obstacles ayant trait aux compétences auxquels la Commission s'attaque par le truchement de programmes d'apprentissage et de formation tels qu'Erasmus. D'un autre côté, du point de vue du développement économique des pays d'Europe centrale et orientale, il est crucial également de créer les conditions pour que les jeunes restent au pays, afin que tout le monde contribue à l'économie, et d'encourager ceux qui sont partis à revenir. Cela ne veut pas dire qu'il faut mettre un frein à l'épanouissement ou à la mobilité des personnes, mais plutôt qu'il faut encourager la mise en place de réformes institutionnelles et administratives qui aboutissent à ce que suffisamment de moyens soient investis dans les infrastructures et dans le capital humain. Afin d'améliorer la compatibilité entre emplois proposés et demandeurs d'emploi par-delà les frontières, nous prévoyons de moderniser dès cet automne le portail Eures pour les demandeurs d'emploi, en le rendant plus interactif. En outre, des programmes ciblés de mobilité professionnelle vont être lancés qui pourront se focaliser sur des groupes cibles, secteurs, métiers et pays particuliers en fonction des besoins du marché. Un exemple est votre premier emploi Eures qui a été lancé par la Commission pour aider les jeunes qui cherchent un emploi à travers toute l'Europe. Partout en Europe nous cherchons le moyen de sortir de la crise. J'estime que cela ne sera possible qu'à travers une approche européenne de l'emploi, qui nous permette de voir plus loin que nos frontières nationales. Lever les restrictions sur la circulation des travailleurs représente un pas dans la bonne direction. Commentaire d'un internaute. - "L'avenir que cet eurocrate féodal promet aux peuples européens, c'est celui d'une précarisation et d'une nomadisation généralisées, au service exclusif des intérêts du grand capital et de la haute finance : une forme contemporaine et rénovée de servitude. Les images dramatiques des destructions de camps de roms préfigurent le sort que les eurocrates et les financiers nous réservent." Article de presse. Un article de Liesi du 23 août 2012 Quand les escrocs en col blanc gouvernent impitoyablement, sans foi ni loi. (27.08) Pourquoi des personnages comme Timothy Geithner, le secrétaire au Trésor US, poursuivent-ils leur mission de représentant des Etats-Unis alors qu’ils devraient être entre quatre murs ? Plus on creuse sur les scandales liés à la manipulation du Libor, plus on s’aperçoit qu’il s’agit de l’un des grands crimes du siècle. Quand il s’exprime pour commenter les silences complices de Timothy Geithner sur les manipulations du Libor, l’ancien gou­verneur de l’Etat de New York, Eliot Spitzer, n’hésite pas à comparer son crime à celui des pires pédophiles lourdement condamnés pour crime. « Le rôle de Geithner a été dévoilé lors de la déposition de l’ancien directeur de la Barclays, Robert Diamond, devant une commission d’enquête du Parlement britannique. En effet, il a révélé que Barclays avait été en contact avec la Réserve fédérale de New York à l’époque où Geithner la dirigeait, au sujet du Libor. La Fed de New York, censée garder Wall Street dans le collimateur, joue un rôle de régulation tout spécial. A la suite des propos de Diamond, une série de courriels ren­dus publics a confirmé que les autorités de la Fed, y compris Geithner, n’ont rien fait pour arrêter les menées des banques qui fixaient le Libor, dont ils étaient au courant. Pire, ils ont accordé à ces mêmes banques des milliers de milliards de dollars de fonds et de crédits. Barclays à elle seule a obtenu 868 milliards de dollars de prêts, au loyer de 0 % ! Geithner a personnellement envoyé un email aux autorités britanniques le 1er juin 2008, leur suggérant de renforcer la gouvernance et d’établir une procédure crédible de déclaration des taux, et d’éliminer l’incitation à faire de fausses déclarations. Il savait donc bel et bien que la procédure comportait de sérieux défauts. Pourquoi n’a-t-il pas intenté de poursuites contre ceux qui trichaient ? » (Source Strategic Alert) Chose incroyable, malgré ces magouilles honteuses, la marionnette préférée de Wall Street qui a su rouler dans la farine des millions d’électeurs, un certain Barack Obama, à qui Wall Street devrait ériger une statue pour le remercier d’avoir ridiculisé le peuple américain durant cinq longues années, a récompensé Geithner en faisant de lui LE secrétaire au Trésor du pays ! Pour l’heure, des enquêtes se multiplient contre les banques qui furent renflouées après avoir spolié leurs clients. Des actions sont même intentées par des gouvernements locaux et d’Etat, ainsi que les fonds publics de retraite, et d’autres qui ont été victimes de la manipulation des taux. Ces entités ont perdu des milliards de dollars, du fait que le guichet in­vestissement des banques universelles leur ont vendu des swaps sur taux d’intérêt et d’autres formes d’assurance contre le risque, alors que le guichet banque des mêmes institutions truquaient les taux, obligeant leurs clients à payer beaucoup plus. Des responsables de Baltimore font valoir que la ville a dû payer la différence à cause de la manipulation des taux sur des centaines de millions de dollars empruntés par la ville. Et de Californie, la ville d’Oakland a renvoyé Goldman Sachs en raison de l’assurance frauduleuse qu’elle lui a vendue. 75 % des grandes villes américaines ont des contrats de swaps liés au Libor. En 2010, des municipalités ont versé 4 milliards de dollars de sanctions pour avoir annulé de tels contrats. Entre-temps, pour verser les honoraires aux escrocs, les gou­vernements sont obligés de couper les budgets de santé, d’édu­cation et de sécurité, de fermer des postes de police, des services de pompiers, des hôpitaux etc., pour équilibrer le budget. Non seulement le secrétaire d’Etat au Trésor n’est pas en prison, mais il ose jouer au conseiller des Etats européens, que ses amis banquiers ont torpillé par des manipulations incessantes sur les taux. Il faut bien comprendre Timothy Geithner : comme il semble pouvoir transgresser sans limite les lois des hommes, pourquoi s’arrêter en si bon chemin. D’autres pensaient jouir de certains passe-droits, même à la tête d’institutions supranationales. Mais il arrive (parfois) un moment où certaines factions oligarchiques décident de s’offrir une victime qui, du jour au lendemain, se retrouve nue comme un ver. De cela, Timothy Geithner devrait réfléchir à deux fois. Article de presse. Un article de Liesi du 21 août 2012 Le scandale de l’Euribor – Complicités entre banquiers et gouvernements sur l’art de ruiner les citoyens. (27.08) Le cadavre de l’Euribor trouve toute sa place à côté de celui du Libor. L’Euribor est l’acronyme du European Interbank Offered Rate, établi lors de la création de l’euro en 1999, qui détermine sur une base quotidienne le coût des dépôts interbancaires à court terme dans l’Eurozone. Si 43 banques de la zone euro constituent le cœur de la commission d’Euribor, d’autres ban­ques étrangères à la zone, comme Barclays ou JP Morgan, en font partie aussi. Barclays a déjà avoué aux autorités américaines avoir égale­ment faussé ses déclarations concernant l’Euribor. Et les autres ? Est-il pensable que l’Euribor soit resté « propre », alors que tout le monde savait que son concurrent, le Libor, était truqué ? A noter que l’Euribor est appliqué à un volume de 220 000 milliards d’euros de contrats dérivés. La manipulation du taux interbancaire a des conséquences non seulement pour les millions de personnes ayant contracté un prêt hypothécaire et obligées de payer des intérêts plus élevés, mais aussi pour des centaines de municipalités en Eu­rope ayant acheté des swaps sur taux d’intérêt, notamment en France, en Italie et en Allemagne. En Italie, plus de 400 administrations municipales et régionales ont une exposition de 66 milliards, et le gouvernement italien détient quelque 100 milliards de swaps sur taux d’intérêt. En France, le ministère de l’Economie estimait, en novembre 2008, que sur les 135 milliards d’euros de dettes des collec­tivités territoriales françaises, 15 à 20% d’entre elles étaient constituées de produits structurés, dont les taux fluctuaient selon des formules complexes en fonction de certaines devises comme le Franc suisse, mais aussi du Libor et de l’Euribor. Le plus grand vendeur de tels swaps en Europe n’est autre que la banque franco-belge Dexia, qui a été renflouée à hau­teur de 162 milliards d’euros par les contribuables. Par ailleurs, Dexia est intiment liée à Barclays, qui a fait fonction d’agent pour la vente des actifs de la franco-belge. (Source: EIR) Article de presse. Un article de 20minutes.fr du 27 août 2012 Unilever se prépare à un «retour de la pauvreté» en Europe. (28.08) Le responsable pour l'Europe du géant anglo-néerlandais de l'agroalimentaire et des cosmétiques Unilever affirme dans un entretien paru lundi voir «la pauvreté revenir» sur le continent, et veut adapter en conséquence sa stratégie. «La pauvreté revient en Europe», a déclaré Jan Zijderveld au quotidien allemand Financial Times Deutschland, ajoutant: «Si un Espagnol ne dépense plus en moyenne que 17 euros quand il fait les courses, je ne vais pas lui proposer un paquet de lessive qui coûte la moitié de son budget». Jan Zijderveld dit vouloir s'inspirer désormais en Europe des méthodes utilisées par Unilever dans les pays asiatiques en développement, en vendant des produits meilleur marché car en plus petit conditionnement. «Celui qui s'en sort ici y arrivera partout» «En Indonésie nous vendons des échantillons individuels de shampoing pour 2 à 3 centimes pièce et pourtant nous gagnons de l'argent», dit le responsable en Europe d'un groupe chapeautant des marques telles que Dove (savon), Magnum (crème glacée), Knorr (épicerie) ou Cajoline (adoucissant). Le Financial Times Deutschland rapporte qu'Unilever a par exemple commencé à vendre en Espagne de petits paquets de lessive ne permettant de faire que cinq machines. «Les marchés en Europe sont un peu les Jeux olympiques de la distribution: le plus difficile! Celui qui s'en sort ici y arrivera partout», a déclaré Jan Zijderveld. Commentaire d'un internaute - "Il se trompe de discours ce mec, il aurai du dire UNILEVER participe à l'appauvrissement du monde en fermant des unités de production comme FRALIB à GEMENOS, pour s'installer ailleurs ou il peut sous-payer les salariés pour faire plus de fric. Où est Montebourg ? Que l'Europe devienne un continent de pays en voie de développement, il s'en fout complètement." Commentaire. En Inde, tout est également vendu à l'unité ou en sachet représentant une dose, le thé ou le shampoing ou encore les médicaments par exemple. Ce qui est en train de se produire en Espagne, Italie, Portugal, Grèce, etc. la paupérisation généralisée en Europe, je l'avais évoquée en 2005...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire